Groupes de travail
Pourquoi des groupes de travail?
Plus de 1900 personnes participent aux réseaux, chacun avec son expérience mais avec souvent des points communs, des problèmes communs. Nombreuses sont les informations qui remontent des réseaux via des enquêtes spécifiques ou bien collectées à l’occasion des réunions locales. Des thèmes d’importance se font jour et deviennent objet de discussion au niveau de la CoRPAR. Pour aller plus loin, la CoRPAR mandate un groupe de ses membres. C’est ainsi qu’ont vu le jour:
- le Groupe de Travail Temps de travail des PCR
- Groupe de Travail Formation
- le Groupe de Travail PCR externes
- le Groupe de Travail sources scellées usagées
- le Groupe de Travail Norme NF C 15 160
- le Groupe de Travail temps de travail des PCR
Le groupe de travail Temps PCR
L’évaluation du temps dédié réellement nécessaire aux PCR afin d’assurer leurs missions au sein d’un service utilisant des générateurs à rayons X est difficile à évaluer. Bien souvent, les PCR ressentent un manque de temps pour mener à bien l’ensemble de leurs missions. C’est notamment le cas lorsque des pratiques interventionnelles radioguidées (PIR) sont réalisées mais surtout lorsque ce temps de ne se limite pas exclusivement aux missions de PCR au titre du Code de Travail et au titre du Code de la Santé Publique.
Que ce soit pour les PCR, les employeurs ou les responsables d’activités nucléaires (RAN), un outil permettant d’estimer le temps alloué aux missions de la PCR, évolutif selon le parc d’installations, le nombre de professionnels à suivre et la complexité des pratiques devrait constituer une aide précieuse.
Formulaire
Formulaire a remplir et renvoyer à contact@corpar.fr
Composition du Groupe de Travail
Geoffrey DESMULLIEZ (CHU de Lille)
Cyril DUVERGER (CHU de Nîmes)
Joel GUERSEN (CHU de Clermont Ferrand) ;
Aldona GRANDCOING (APHP) ;
Serge MAIA (CHU de Tours) ;
Christophe TOURNEUX (OCR stratégie)
Le groupe de travail PCR externes
Le Groupe de Travail a lancé en 2014 une enquête auprès des PCR externes membres des réseaux. Les résultats de cette enquête sont disponibles ici.
Le Groupe de Travail estime avoir remplit son rôle; il est donc arrêté mi 2015.
Composition du Groupe de Travail
Pilote / Rapporteur : Christophe Tourneux (AIRCAP)
Réseaux Régionaux participants :
- AIRCAP
- APCRAP
- Auvergne Corrèze
- Grand Ouest
- Guadeloupe PCR971
- RADIRS
- RAMIP
- Réseau Centre
- ReSO
Réseaux Nationaux collaborants :
- Réseau EDF et entreprises extérieures
- Réseau national Vétérinaire
La CoRPAR a participé à la Commission PCR externes mise en place par l’ATSR en 2013 .
Suite à cette initiative la CoRPAR a créé un Groupe de travail PCR externes pour représenter les quelques 100 PCR externes appartenant à de petites structures qui sont membres des divers réseaux.
Initialement La CoRPAR a fait part très clairement de son refus de voir mise en place une certification des PCR externes, qui signifierait la mort des PCR externes isolées ou en petit groupe.
La CoRPAR ne s’est pas non plus associée à une mise en place d’une labellisation.
La Commission lancée par l’ATSR ne se réunissant plus, la CoRPAR a jugé utile de de lancer un questionnaire auprès des PCR externes “isolées” pour mieux connaitre les conditions de travail de ces professionnels.
Les résultats de cette enquête montrent la grande diversité des situations.
Juin 2013 : La CORPAR rejète le projet de charte de la PCR Externe proposée par l’ATSR.
Lors du congrès SFRP 2013, la CORPAR et l’ATSR se sont réunis de façon informelle.
2013.06.12_Commission_PCR_Externes_-_CR_du_12-06-2013
Le GT PCR externes a réalisé en 2014 une enquête à laqielle ont répondu un tiers des PCR externes isolées qui participent à la vie des réseaux. Une synthèse des réponses a été rédigée et est postée sur notre site. Nous disposons donc maintenant d’une photogrphie récente de la diversité des situations des PCR externes isolées: temps plein ou partiel, contenu ds contrats, type d’assurance professionnelle, matériel de mesure ,…
Le groupe de travail sources scellées usagées
A travers de nombreux exemples recensés au sein des réseaux, il apparait que la réglementation n’est pas adaptée à la gestion des sources scellées de très faible activité dans le nucléaire diffus. Les cas recensés dans les réseaux montrent que l’application stricte de cette réglementation peut être très couteuse en argent et en temps pour de nombreuses institutions, et ce, bien sûr au détriment d’une véritable radioprotection ou de l’affectation des ressources à la gestion d‘autres risques.
Afin de faire passer ces messages dans le Groupe de Travail Sources du PNGMDR (Ministère de l’Écologie), la CoRPAR a créé un petit groupe de travail piloté par Pierre Barbey; ce groupe s’appuie sur les réseaux Grand Ouest et R2Nord.
Une avancée importante a été enregistrée avec la possibilité de faire reprendre dès Juillet 2015 les sources cellées usagées par “un” fournisseur et non par “le” fournisseur. Mais, mi 2015, le coûts de reprise restent exhorbitants pour les petits services médicaux ou de la recherche. Il convient de trouver une solution.
Le groupe de travail Formation
Les réseaux sont (de fait) des organismes de formation continue. Il leur est possible de demander un numéro de formateur auprès de leur DIRRECTE (Directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi). La plupart des réseaux ont fait cette démarche et ont obtenu ce statut.
Dès sa création la CoRPAR a mis en place un Groupe de travail Formation afin de réfléchir et faire des propositions concernant ce rôle des réseaux.
Composition du Groupe de Travail
Pilote : Nicole Barrey ; ReSO
Réseaux participants :
- AIRCAP
- APCRAP
- RESALOR
En Février 2012 le GT a été chargé par la CoRPAR de faire des propositions sur le contenu pédagogique et les procédures qui permettraient de faire reconnaître par les autorités compétentes les enseignements théoriques et/ou pratiques dispensés au sein des réseaux lors des journées de formation.
Cette reconnaissance devrait permettre de « valider » en partie les contrôles de connaissances imposés par l’arrêté de formation des PCR.
En Octobre 2012 le GT a proposé à la CoRPAR un cahier des charges ainsi qu’un projet de référentiel de formation pour les réseaux qui souhaiteraient entrer dans cette démarche.
Projet du cahier des charges
Les réseaux devront être titulaire d’un numéro d’activité délivré par la DIRRECTE.
Le contenu des enseignements devra être défini en “action pédagogique” qui devra préciser : les objectifs, le public concerné, les moyens pédagogiques utilisés, le contenu des enseignements, les coordonnées des intervenants, le coût, la durée, les critères d’évaluation …
Au terme de la formation il sera remis aux participants une attestation de formation continue délivrée par le responsable de la session de formation.
Projet du référentiel de formation
Chaque enseignement (théorique et/ou pratique) dispensé au sein des réseaux serait « raccroché » à 8 fiches d’enseignements :
- 5 fiches “cœur de métier”
- Physique fondamentale et appliquée –Technologie
- Radiobiologie
- Réglementation – Législation
- Démarche qualité – Gestion des risques
- Formation – Communication
- 3 fiches “savoirs associés”
- Démarche projet
- Management
- Initiation à la recherche et à la rédaction
Chaque fiche étant elle même reliée à une ou plusieurs missions des PCR telles que définies par les textes règlementaires.
Une fiche définit pour chaque enseignement, les pré-requis, les objectifs, des éléments de contenu, les recommandations pédagogiques et les modalités d’évaluation.
Ces éléments ont été présentés aux Administrations; ils doivent maintenant être discutés avec le COFRAC et la DGT.
Nicole Barrey a préparé 9 projets de fiches utiles pour faire vivre votre réseau en tant que formateur de la formation permanente et par la suite en tant que réseau associé à un organisme certifié de formation. Ces fiches sont maintenant disponibles ci dessous après validation par le GT formation.
Attestation formation continue
Le groupe de travail PCR externes
Le Groupe de Travail a lancé en 2014 une enquête auprès des PCR externes membres des réseaux. Les résultats de cette enquête sont disponibles ici.
Le Groupe de Travail estime avoir remplit son rôle; il est donc arrêté mi 2015.
Composition du Groupe de Travail
Pilote / Rapporteur : Christophe Tourneux (AIRCAP)
Réseaux Régionaux participants :
- AIRCAP
- APCRAP
- Auvergne Corrèze
- Grand Ouest
- Guadeloupe PCR971
- RADIRS
- RAMIP
- Réseau Centre
- ReSO
Réseaux Nationaux collaborants :
- Réseau EDF et entreprises extérieures
- Réseau national Vétérinaire
La CoRPAR a participé à la Commission PCR externes mise en place par l’ATSR en 2013 .
Suite à cette initiative la CoRPAR a créé un Groupe de travail PCR externes pour représenter les quelques 100 PCR externes appartenant à de petites structures qui sont membres des divers réseaux.
Initialement La CoRPAR a fait part très clairement de son refus de voir mise en place une certification des PCR externes, qui signifierait la mort des PCR externes isolées ou en petit groupe.
La CoRPAR ne s’est pas non plus associée à une mise en place d’une labellisation.
La Commission lancée par l’ATSR ne se réunissant plus, la CoRPAR a jugé utile de de lancer un questionnaire auprès des PCR externes “isolées” pour mieux connaitre les conditions de travail de ces professionnels.
Les résultats de cette enquête montrent la grande diversité des situations.
Juin 2013 : La CORPAR rejète le projet de charte de la PCR Externe proposée par l’ATSR.
Lors du congrès SFRP 2013, la CORPAR et l’ATSR se sont réunis de façon informelle.
2013.06.12_Commission_PCR_Externes_-_CR_du_12-06-2013
Le GT PCR externes a réalisé en 2014 une enquête à laqielle ont répondu un tiers des PCR externes isolées qui participent à la vie des réseaux. Une synthèse des réponses a été rédigée et est postée sur notre site. Nous disposons donc maintenant d’une photogrphie récente de la diversité des situations des PCR externes isolées: temps plein ou partiel, contenu ds contrats, type d’assurance professionnelle, matériel de mesure ,…
Le groupe de travail sources scellées usagées
A travers de nombreux exemples recensés au sein des réseaux, il apparait que la réglementation n’est pas adaptée à la gestion des sources scellées de très faible activité dans le nucléaire diffus. Les cas recensés dans les réseaux montrent que l’application stricte de cette réglementation peut être très couteuse en argent et en temps pour de nombreuses institutions, et ce, bien sûr au détriment d’une véritable radioprotection ou de l’affectation des ressources à la gestion d‘autres risques.
Afin de faire passer ces messages dans le Groupe de Travail Sources du PNGMDR (Ministère de l’Écologie), la CoRPAR a créé un petit groupe de travail piloté par Pierre Barbey; ce groupe s’appuie sur les réseaux Grand Ouest et R2Nord.
Une avancée importante a été enregistrée avec la possibilité de faire reprendre dès Juillet 2015 les sources cellées usagées par “un” fournisseur et non par “le” fournisseur. Mais, mi 2015, le coûts de reprise restent exhorbitants pour les petits services médicaux ou de la recherche. Il convient de trouver une solution.